Dès que la nuit fut tombée, Diego se faufila jusqu'à la grotte et y enfila ses vêtements noirs.
Il sella Tornado, puis, galopa rapidement en direction de la caserne. Une fois sur place, il se redressa sur son cheval, se leva doucement et monta sur le toit. Il se faufila discrètement et observa le patio. Seul, un soldat surveillait les alentours. Les cellules se trouvaient sous terre, pour y accéder, il fallait descendre un petit escalier de pierre. Un petit vent s'était levé.
Zorro se demanda comment se débarrasser silencieusement du militaire qui ne l'avait toujours pas remarqué. Le jeune homme, agile, sauta lestement de son perchoir et passa derrière le lancier. Il lui donna un coup sur la tête, les deux mains jointent en un poing.
Ensuite, il souleva le corps du soldat et le déplaça dans un endroit sombre de la cour où on ne le remarquerait pas. Il le bâillonna et le ficela au cas où il se réveillerait.
Zorro emprunta alors, toujours silencieusement, le petit escalier de pierre. Il descendit lentement. Personne ne surveillait les cellules, mis à part un soldat endormi qui tenait les clefs attachées à sa ceinture.
Maria se trouvait dans la cellule du fond.
Le renard s'approcha du militaire endormi et, de la pointe de son épée se saisit doucement des clefs. Il se hâta d'aller ouvrir la porte à Maria.
- Qui êtes-vous ? Vous êtes ce fameux Zorro dont tout le monde parle et qui a libérer mon père ?
- Chut, répondit le jeune homme.
Maria s'était tue. Elle observait à présent cet homme qui la libérait.
Dès que la porte fut grande ouverte, la señorita se faufila à l'extérieur.
El Zorro contra El Tamaño/ Zorro contre La Grandeur
Description :
Ce blog est en fait une histoire que j'écris. Elle est assez mal écrite mais ce n'est pas grave ^^
Je l'écris pour approfondir et améliorer mon style^^
Laissez des coms! J'accepte les "c'est nul" mais il faut que votre commentaire soit construit ^^
Et je suis ouverte à tous les conseils que vous pourrez me donner!!
merci
Bonne visite!
- Qu'allons-nous faire maintenant ? demanda-t'elle tout bas.
- Suivez-moi ; chuchota Zorro ; et faites le moins de bruit possible...
La jeune fille acquiesça. Elle suivit l'homme masqué à petit pas. Malheureusement, le soldat qui dormait la minute précédente s'était réveillé. Quelqu'un avait donné l'alerte ! Sûrement avait-on du découvrir le lancier bâillonné dans le patio.
Zorro saisit Maria par le bras et commença à courir :
- Courez ! cria-t'il.
Ils débouchèrent sur la cour, le soldat dormeur à leurs trousses.
Désormais, ils n'étaient pas seuls. Le patio était rempli de soldat prêt à les fusiller, ou plutôt, à fusiller Zorro.
Le jeune homme, d'un coup d'épée fit tomber quelques soldats qui s'étaient jetés sur lui, l'arme à la main. Il aida la jeune prisonnière à monter sur le toit. Quand, soudain, le commandant l'attaqua par derrière. Le renard esquiva le coup de justesse. Le duel commença.
- Cette fois, vous ne vous échapperez pas ! rugit Cerezo.
- C'est ce qu'on verra !
Chacun des adversaires portaient et esquivait des coups. Alors que le combat était à son paroxysme, une détonation se fit entendre.
Zorro se retourna, on avait tiré sur Maria !
Alors, d'un coup de pied bien placé, il fit tomber le commandant et rejoignit la jeune fille sur le toit, d'un bond. Il l'aida à se relever, siffla pour appeler son cheval, fit glisser Maria délicatement sur Tornado et s'assis derrière elle.
Il mena sa monture au galop. Où pouvait-il aller ? Il ne pouvait pas ramener Maria dans la grotte car elle risquerait de découvrir son identité.
« A l'église ! se dit-il soudain. Elle pourra s'y cacher ! »
Il galopa en direction du bâtiment religieux. Une fois arrivé dans ce lieu saint, il descendit de cheval et aida Maria à descendre à son tour. A l'aide d'un bout de sa cape, il fit un noeud et lui serra le bras pour que le sang ne coule pas trop. Il l'aida à se diriger vers l'église. Ils entrèrent. Que ne fut leur surprise lorsqu'ils aperçurent, assis au fond de la salle, sur un des nombreux bancs, Don Arturo de Vargas ! Ce dernier, voyant sa nièce blessée, s'élança sans se poser de question.
- Maria ! Que s'est-il passé ?
Zorro pris la parole à la place de la jeune fille :
- Quelqu'un lui a tiré dessus. Fort heureusement, la balle n'a atteint que son bras.
Arturo leva les yeux, et reconnut son sauveur. Ses yeux s'emplirent de larmes, mais il ne pleura pas :
- Merci ! Merci, señor ! Vous m'avez sauvé, et, maintenant, vous me ramenez ce que j'ai de plus précieux au monde...
- De rien, répondit simplement le jeune homme, touché par tant de gratitude. Mais que faites-vous ici ?
- Je suis venu me cacher, le père Felipe m'a dit que je pourrais rester aussi longtemps que j'en aurais envie. Je devais aller voir le gouverneur, à Monterey, cette nuit-même ! J'avais l'intention de lui raconter tout ce qui se passe ici...
A ce moment, le père Felipe, « curé » du village, entra dans la pièce.
- Suivez-moi ; chuchota Zorro ; et faites le moins de bruit possible...
La jeune fille acquiesça. Elle suivit l'homme masqué à petit pas. Malheureusement, le soldat qui dormait la minute précédente s'était réveillé. Quelqu'un avait donné l'alerte ! Sûrement avait-on du découvrir le lancier bâillonné dans le patio.
Zorro saisit Maria par le bras et commença à courir :
- Courez ! cria-t'il.
Ils débouchèrent sur la cour, le soldat dormeur à leurs trousses.
Désormais, ils n'étaient pas seuls. Le patio était rempli de soldat prêt à les fusiller, ou plutôt, à fusiller Zorro.
Le jeune homme, d'un coup d'épée fit tomber quelques soldats qui s'étaient jetés sur lui, l'arme à la main. Il aida la jeune prisonnière à monter sur le toit. Quand, soudain, le commandant l'attaqua par derrière. Le renard esquiva le coup de justesse. Le duel commença.
- Cette fois, vous ne vous échapperez pas ! rugit Cerezo.
- C'est ce qu'on verra !
Chacun des adversaires portaient et esquivait des coups. Alors que le combat était à son paroxysme, une détonation se fit entendre.
Zorro se retourna, on avait tiré sur Maria !
Alors, d'un coup de pied bien placé, il fit tomber le commandant et rejoignit la jeune fille sur le toit, d'un bond. Il l'aida à se relever, siffla pour appeler son cheval, fit glisser Maria délicatement sur Tornado et s'assis derrière elle.
Il mena sa monture au galop. Où pouvait-il aller ? Il ne pouvait pas ramener Maria dans la grotte car elle risquerait de découvrir son identité.
« A l'église ! se dit-il soudain. Elle pourra s'y cacher ! »
Il galopa en direction du bâtiment religieux. Une fois arrivé dans ce lieu saint, il descendit de cheval et aida Maria à descendre à son tour. A l'aide d'un bout de sa cape, il fit un noeud et lui serra le bras pour que le sang ne coule pas trop. Il l'aida à se diriger vers l'église. Ils entrèrent. Que ne fut leur surprise lorsqu'ils aperçurent, assis au fond de la salle, sur un des nombreux bancs, Don Arturo de Vargas ! Ce dernier, voyant sa nièce blessée, s'élança sans se poser de question.
- Maria ! Que s'est-il passé ?
Zorro pris la parole à la place de la jeune fille :
- Quelqu'un lui a tiré dessus. Fort heureusement, la balle n'a atteint que son bras.
Arturo leva les yeux, et reconnut son sauveur. Ses yeux s'emplirent de larmes, mais il ne pleura pas :
- Merci ! Merci, señor ! Vous m'avez sauvé, et, maintenant, vous me ramenez ce que j'ai de plus précieux au monde...
- De rien, répondit simplement le jeune homme, touché par tant de gratitude. Mais que faites-vous ici ?
- Je suis venu me cacher, le père Felipe m'a dit que je pourrais rester aussi longtemps que j'en aurais envie. Je devais aller voir le gouverneur, à Monterey, cette nuit-même ! J'avais l'intention de lui raconter tout ce qui se passe ici...
A ce moment, le père Felipe, « curé » du village, entra dans la pièce.
Le señor De Vargas s'enquit de lui présenter Zorro, son ange-gardien.
Puis, il ajouta :
- Ma fille, Maria est blessée, pourriez-vous la soigner ? Vite, elle perd du sang.
Le prêtre posa sa main sur la tête de la jeune fille.
- Ne vous inquiétez pas, nous allons la soigner.
Il observa sa blessure.
- Sa plaie n'a pas l'air très profonde. Je vais demander à mes fils de la soigner du mieux qu'ils le pourront.
Felipe avait l'habitude d'appeler « ses fils » les Indiens qu'ils tenaient sous sa protection. Ceux-ci accomplissaient de nombreux travaux pour l'homme d'église, notamment la cueillette d'oranges.
Maria lâcha :
- Ce n'est rien de grave...
- Mais il faut vous soigner, répondit Zorro.
La jeune femme s'étonna.
« Cette voix ! s'écria-t'elle intérieurement. »
Elle avait, depuis sa plus tendre enfance, toujours su reconnaître les voix. Dès qu'elle entendait quelqu'un parlait, la voix de cette personne resté encrée dans son esprit.
« Je dois le connaître ! Cette voix, j'ai du l'entendre quelque part ! »
Elle passa en revue toutes les personnes qu'elle connaissait, mais aucune ne correspondait.
« C'est peut-être quelqu'un que je ne connais pas vraiment, quelqu'un que je n'ai vu qu'une fois... »
On la conduisit au bureau du prêtre où l'on allait la soigner.
Zorro et Arturo restèrent seuls :
- Señor, vous devriez partir cette nuit. Plus tard, il sera trop tard. Le commandant Cerezo n'est pas sot, il se doutera que vous avez trouvé refuge ici !
- Mais, comprenez-moi, Zorro. Je ne peux pas laisser ma nièce seule ici alors qu'elle est blessée ! C'est mon trésor, mon soleil...
Il avait toujours pris Maria pour sa fille.
- Le père Felipe va s'en occuper ! Et, si vous voulez, je veillerai à ce qu'il ne lui arrive aucun mal. Mais il faut que vous y alliez ! Ce que vous direz au gouverneur pourra peut-être améliorer la situation !
Arturo baissa les yeux vers le sol. Et, sans oser regarder le bandit qu'il considérait à présent comme un héro, dit :
- Vous avez raison... Je vais de ce pas seller mon cheval.
- Oui, c'est ce que vous devez faire.
Il sortit de l'église, après avoir bien observé les environs afin d'être sur qu'il n'y avait personne. Zorro entendit les pas de sa monture au galop s'éloigner.
Ensuite, il alla au bureau de Felipe pour prévenir le curé et Maria du départ du señor De Vargas.
La jeune femme semblait aller mieux. Son teint avait repris des couleurs, ses joues étaient devenu bien roses lorsque le jeune homme était entré dans la salle.
- Merci pour tout, fit-elle.
- De rien, répondit Zorro sur un ton doux.
Il était fatigué, ses yeux se fermaient presque tout seuls. Il devait être au moins quatre heures du matin. Le renard salua ses amis et s'en fut.
Une fois à l'hacienda, il se coucha.
« J'espère ne pas avoir à agir toutes les nuits ! Cela fait à peine deux jours que je suis à Los Angeles et c'est ma deuxième nuit blanche ! »
Il s'endormit bien vite.
Puis, il ajouta :
- Ma fille, Maria est blessée, pourriez-vous la soigner ? Vite, elle perd du sang.
Le prêtre posa sa main sur la tête de la jeune fille.
- Ne vous inquiétez pas, nous allons la soigner.
Il observa sa blessure.
- Sa plaie n'a pas l'air très profonde. Je vais demander à mes fils de la soigner du mieux qu'ils le pourront.
Felipe avait l'habitude d'appeler « ses fils » les Indiens qu'ils tenaient sous sa protection. Ceux-ci accomplissaient de nombreux travaux pour l'homme d'église, notamment la cueillette d'oranges.
Maria lâcha :
- Ce n'est rien de grave...
- Mais il faut vous soigner, répondit Zorro.
La jeune femme s'étonna.
« Cette voix ! s'écria-t'elle intérieurement. »
Elle avait, depuis sa plus tendre enfance, toujours su reconnaître les voix. Dès qu'elle entendait quelqu'un parlait, la voix de cette personne resté encrée dans son esprit.
« Je dois le connaître ! Cette voix, j'ai du l'entendre quelque part ! »
Elle passa en revue toutes les personnes qu'elle connaissait, mais aucune ne correspondait.
« C'est peut-être quelqu'un que je ne connais pas vraiment, quelqu'un que je n'ai vu qu'une fois... »
On la conduisit au bureau du prêtre où l'on allait la soigner.
Zorro et Arturo restèrent seuls :
- Señor, vous devriez partir cette nuit. Plus tard, il sera trop tard. Le commandant Cerezo n'est pas sot, il se doutera que vous avez trouvé refuge ici !
- Mais, comprenez-moi, Zorro. Je ne peux pas laisser ma nièce seule ici alors qu'elle est blessée ! C'est mon trésor, mon soleil...
Il avait toujours pris Maria pour sa fille.
- Le père Felipe va s'en occuper ! Et, si vous voulez, je veillerai à ce qu'il ne lui arrive aucun mal. Mais il faut que vous y alliez ! Ce que vous direz au gouverneur pourra peut-être améliorer la situation !
Arturo baissa les yeux vers le sol. Et, sans oser regarder le bandit qu'il considérait à présent comme un héro, dit :
- Vous avez raison... Je vais de ce pas seller mon cheval.
- Oui, c'est ce que vous devez faire.
Il sortit de l'église, après avoir bien observé les environs afin d'être sur qu'il n'y avait personne. Zorro entendit les pas de sa monture au galop s'éloigner.
Ensuite, il alla au bureau de Felipe pour prévenir le curé et Maria du départ du señor De Vargas.
La jeune femme semblait aller mieux. Son teint avait repris des couleurs, ses joues étaient devenu bien roses lorsque le jeune homme était entré dans la salle.
- Merci pour tout, fit-elle.
- De rien, répondit Zorro sur un ton doux.
Il était fatigué, ses yeux se fermaient presque tout seuls. Il devait être au moins quatre heures du matin. Le renard salua ses amis et s'en fut.
Une fois à l'hacienda, il se coucha.
« J'espère ne pas avoir à agir toutes les nuits ! Cela fait à peine deux jours que je suis à Los Angeles et c'est ma deuxième nuit blanche ! »
Il s'endormit bien vite.
Si vous écrivez une histoire et que vous l'avez mise sur un blog, laissez moi l'adresse ici, en remplissant ce formulaire dans les coms:
Nom du blog (de l'histoire):
Adresse (url):
Court résumé de l'histoire:
Voilà un exemple avec le mien
Nom du blog: Zorro, renard futé
Adresse: http://diegozorro.skyblog.com
Résumé: Venez découvrir les aventures de Zorro !
et le lien donnera ça:
Zorro, renard futé :Venez découvrir les aventures de Zorro !
Voilà ^^
Vos liens:
La pierre de lune
Le moyen-âge : ce n'est pas une histoire mais c'est mon "sponsor" XD
The magic world
Histoire d'amour de Mickey et Minie: venez rever dans le monde de mickey !
Poupéerussecompagnie : une histoire en films...de poupées russes! Totalement idiot, mais marrant. Vous y trouverez aussi un film sur une invasion de peluche ou une citrouille.....XD
Une histoire mêlée de passion & Chevaux : (ce que j'en pense: je le conseille, très bonne histoire pour le moment^^ j'espère qu'elle le sera après aussi... Cette histoire est très intérressante, notamment pour les amateurs de chevaux)
Au même battement que ton coeur: L'histoire se déroule au temps de Cameliot, des chevaliers de la table ronde, d'Arthur... Le jeune Falco, un écuyer perd son cheval Plume une jument blanche, pendant une chasse. Tout semble détruit. Mais une nouvelle histoire va comencer avec un nouvel ami.
Saut-sept: histoire médiévale très prometteuse écrite par Marwari-Lindin
Ange et démon: Elle a la force des anges. Il a le charme du diable. Deux êtres opposés vont se rencontrer... Mon avis: Je trouve cette histoire "sims" très prenante. J'aime beaucoup. Je vous la conseille vivement!
Alexia-sims-story: Alexia est une jeune femme de 20 ans, encore célibataire, qui recherche l'amour.
Alexia va devoir prendre des décisions difficiles pour y arriver.
Va-t-elle y parvenir?
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Voilà un exemple avec le mien
Nom du blog: Zorro, renard futé
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Résumé: Venez découvrir les aventures de Zorro !
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Zorro, renard futé :Venez découvrir les aventures de Zorro !
Voilà ^^
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La pierre de lune
Le moyen-âge : ce n'est pas une histoire mais c'est mon "sponsor" XD
The magic world
Histoire d'amour de Mickey et Minie: venez rever dans le monde de mickey !
Poupéerussecompagnie : une histoire en films...de poupées russes! Totalement idiot, mais marrant. Vous y trouverez aussi un film sur une invasion de peluche ou une citrouille.....XD
Une histoire mêlée de passion & Chevaux : (ce que j'en pense: je le conseille, très bonne histoire pour le moment^^ j'espère qu'elle le sera après aussi... Cette histoire est très intérressante, notamment pour les amateurs de chevaux)
Au même battement que ton coeur: L'histoire se déroule au temps de Cameliot, des chevaliers de la table ronde, d'Arthur... Le jeune Falco, un écuyer perd son cheval Plume une jument blanche, pendant une chasse. Tout semble détruit. Mais une nouvelle histoire va comencer avec un nouvel ami.
Saut-sept: histoire médiévale très prometteuse écrite par Marwari-Lindin
Ange et démon: Elle a la force des anges. Il a le charme du diable. Deux êtres opposés vont se rencontrer... Mon avis: Je trouve cette histoire "sims" très prenante. J'aime beaucoup. Je vous la conseille vivement!
Alexia-sims-story: Alexia est une jeune femme de 20 ans, encore célibataire, qui recherche l'amour.
Alexia va devoir prendre des décisions difficiles pour y arriver.
Va-t-elle y parvenir?
Quatre jours plus tard, Diego, est allé voir le père Felipe. Il voulait savoir comment se portait Maria, sans pour autant se déguiser en Zorro. Il n'aurait qu'à jeté un coup d'½il à l'intérieur de l'église pour apercevoir la jeune fille, qui, naïve, ne devait pas vraiment se cacher malgré les conseils que tout le monde lui avait apportés.
Il fut à l'église en un rien de temps. Le père Felipe sortit, craignant que le cavalier galopant au loin ne fût le commandant Cerezo. Il se trouva bien apaisé lorsqu'il s'aperçut que ce n'était pas un soldat. Il ne reconnut tout d'abord pas Diego, mais, lorsque celui-ci descendit de cheval, il vint l'accueillir en personne.
- Bonjour, padre !fit Diego, à peine descendu de sa monture.
- Bonjour, répondit le curé sans certitude.
Il avait de nombreux trous de mémoire dus à son grand âge. Il observa le visage du jeune homme, et sourit.
- Diego, je ne t'avais pas reconnu ! Combien de temps es-tu parti en Espagne ?
- Trois ans.
- Déjà ? Mon dieu que le temps passe vite ! s'écria le vieillard. Quand es-tu rentré ?
- Il y a presque une semaine.
Le père Felipe sourit et demanda :
- Entre, viens dans mon bureau ! Je suis très intéressé de savoir ce qui t'est arrivé en Espagne !
Don Diego suivit l'abbé sans mot dire. Le gentil vieil homme invita le jeune homme à s'asseoir sur une chaise, à sa gauche.
Maria s'était cachée en les entendant approcher. Mais, curieuse, elle resta derrière la porte à écouter la conversation des deux hommes.
Elle comprit, grâce aux questions que posait Felipe, que l'on parlait d'un voyage en Espagne, où plutôt de quelqu'un qui était partit faire ses études dans ce pays du soleil.
Lorsque Diego pris la parole, elle frissonna. Cette voix !
« Mais c'est lui ! C'est Zorro ! pensa-t'elle. J'en suis sûre. »
Sans réfléchir d'avantage, elle ouvrit violemment la porte et pénétra dans la salle.
Les deux hommes avaient tourné la tête dans sa direction, et la regardaient. Maria reconnut en un instant le jeune Diego de la Vega, avec qui elle avait fait voyage vers Los Angeles dans la diligence.
« Mais bien sûr ! Une personne dont je ne connais pas bien la voix ! C'est lui, c'est sûr ! Je ne peux pas me tromper, se dit-elle. »
Le père Felipe tenta de rattraper l'erreur de la jeune fille. Mais, celle-ci, très contente d'avoir percer un secret et de pouvoir parler avec une autre personne que le curé, s'enquit :
- Bonjour, Don Diego ! Comment allez-vous ?
- Bonjour, Maria. Je me porte très bien, et vous ?
- Parfaitement.
Ses joues étaient devenues aussi roses que le soir où Zorro l'avait sauvée. Elle vint s'installer auprès de lui, sans prêter attention à Felipe qui lui faisait signe de s'en aller.
- Nous n'avons pas eu beaucoup l'occasion de nous parler dans la diligence, dit-elle. Peut-être pourrions-nous faire plus ample connaissance ?
- Bien sûr, répondit Diego.
A présent, Maria ne doutait plus, Diego de la Vega et Zorro était la même et unique personne. Le son de sa voix, qu'elle avait su reconnaître la faisait pâlir. Son idée avait été renforcée par le fait que le jeune homme n'avait en aucun cas été étonné de sa présence.
Le père Felipe, voyant qu'il ne pouvait rien faire et que Maria avait détourné la conversation sortit discrètement pour aller rejoindre « ses fils » sur le parvis, les laissant seuls.
Dès qu'il fut sortit, la jeune fille se leva.
- Señor Zorro, murmura Maria, c'est vous?
Diego sursauta, il semblait que la jeune fille avait découvert son identité.
- Vous devez faire erreur, je ne connais pas Zorro.
Il ne voulait pas qu'elle sache la vérité, il ne fallait pas...
- Ne me mentez pas, dit-elle. J'ai reconnu votre voix !
Il fut à l'église en un rien de temps. Le père Felipe sortit, craignant que le cavalier galopant au loin ne fût le commandant Cerezo. Il se trouva bien apaisé lorsqu'il s'aperçut que ce n'était pas un soldat. Il ne reconnut tout d'abord pas Diego, mais, lorsque celui-ci descendit de cheval, il vint l'accueillir en personne.
- Bonjour, padre !fit Diego, à peine descendu de sa monture.
- Bonjour, répondit le curé sans certitude.
Il avait de nombreux trous de mémoire dus à son grand âge. Il observa le visage du jeune homme, et sourit.
- Diego, je ne t'avais pas reconnu ! Combien de temps es-tu parti en Espagne ?
- Trois ans.
- Déjà ? Mon dieu que le temps passe vite ! s'écria le vieillard. Quand es-tu rentré ?
- Il y a presque une semaine.
Le père Felipe sourit et demanda :
- Entre, viens dans mon bureau ! Je suis très intéressé de savoir ce qui t'est arrivé en Espagne !
Don Diego suivit l'abbé sans mot dire. Le gentil vieil homme invita le jeune homme à s'asseoir sur une chaise, à sa gauche.
Maria s'était cachée en les entendant approcher. Mais, curieuse, elle resta derrière la porte à écouter la conversation des deux hommes.
Elle comprit, grâce aux questions que posait Felipe, que l'on parlait d'un voyage en Espagne, où plutôt de quelqu'un qui était partit faire ses études dans ce pays du soleil.
Lorsque Diego pris la parole, elle frissonna. Cette voix !
« Mais c'est lui ! C'est Zorro ! pensa-t'elle. J'en suis sûre. »
Sans réfléchir d'avantage, elle ouvrit violemment la porte et pénétra dans la salle.
Les deux hommes avaient tourné la tête dans sa direction, et la regardaient. Maria reconnut en un instant le jeune Diego de la Vega, avec qui elle avait fait voyage vers Los Angeles dans la diligence.
« Mais bien sûr ! Une personne dont je ne connais pas bien la voix ! C'est lui, c'est sûr ! Je ne peux pas me tromper, se dit-elle. »
Le père Felipe tenta de rattraper l'erreur de la jeune fille. Mais, celle-ci, très contente d'avoir percer un secret et de pouvoir parler avec une autre personne que le curé, s'enquit :
- Bonjour, Don Diego ! Comment allez-vous ?
- Bonjour, Maria. Je me porte très bien, et vous ?
- Parfaitement.
Ses joues étaient devenues aussi roses que le soir où Zorro l'avait sauvée. Elle vint s'installer auprès de lui, sans prêter attention à Felipe qui lui faisait signe de s'en aller.
- Nous n'avons pas eu beaucoup l'occasion de nous parler dans la diligence, dit-elle. Peut-être pourrions-nous faire plus ample connaissance ?
- Bien sûr, répondit Diego.
A présent, Maria ne doutait plus, Diego de la Vega et Zorro était la même et unique personne. Le son de sa voix, qu'elle avait su reconnaître la faisait pâlir. Son idée avait été renforcée par le fait que le jeune homme n'avait en aucun cas été étonné de sa présence.
Le père Felipe, voyant qu'il ne pouvait rien faire et que Maria avait détourné la conversation sortit discrètement pour aller rejoindre « ses fils » sur le parvis, les laissant seuls.
Dès qu'il fut sortit, la jeune fille se leva.
- Señor Zorro, murmura Maria, c'est vous?
Diego sursauta, il semblait que la jeune fille avait découvert son identité.
- Vous devez faire erreur, je ne connais pas Zorro.
Il ne voulait pas qu'elle sache la vérité, il ne fallait pas...
- Ne me mentez pas, dit-elle. J'ai reconnu votre voix !
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